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lundi 3 octobre 2011

"LA LENTEUR DES POSTES GAULOISES"...

Jadis, il fallait 24 Heures pour qu’une missive parvienne à son destinataire en tout lieu du pays ! C’était un prestation régulière.

Comme le précise mon ami Jean-Louis MUSTIERE ( qui fut Receveur des Postes avant d’être élu Maire adjoint d’Argentan), ce service (public) avait le souci constant de ses usagers, le sens de la solidarité et du « bien faire ».

Aujourd’hui, ce n’est malheureusement plus le cas car ce service n’est plus « rentable ».
Ah ! le fameux  « résultat financier » qui aura raison de tout !

Un éditorialiste écrit (« L’Unité Normande » n° 321) :
« Depuis quelques mois et numéros expédiés de l’Unité Normande ( ou de Culture Normande) nous assistons ) une dégradation du service de distribution de la Poste. D’autres publications ont aussi constaté cette pénible évolution. Cela se traduit par « le retour à l’envoyeur » du numéro et, plus gênant encore , l’exemplaire nous est retourné au bout de quelques mois…A chaque fois, nous faisons notre enquête : en voici les conclusions :
1 – Une fois sur quatre, le motif de non-distribution n’est pas valable. Notre correspondant habite toujours à la même adresse. Cela arrive notamment en été lorsque les préposés habituels sont en vacances…
2 – Deux fois sur quatre, il y a une légère erreur dans le libellé de l’adresse : par exemple mettre 10 au lieu de 20 dans la numérotation des rues. Ou bien une absence de numérotation la plupart du temps due au fait qu’elle est très récente puisque la Poste a demandé aux municipalités de numéroter toutes les demeures : cette cause de non-distribution nous paraît abusive . Le service public veut ainsi forcer la main des usagers… qui mettent du temps à savoir qu’ils sont ainsi punis pour la méconnaissance de la nouvelle numérotation par leurs correspondants.
3 – Une fois sur quatre, le « retour à l’employeur »est motivé par un changement d’adresse qui ne nous a pas été signalé. La plupart du temps, le suivi de courrier souscrit par l’usager ne dure qu’un an et, au bout de ce laps de temps, la Poste, et, là, cela se comprend, considère le « n’habite pas à l’adresse indiquée » de circonstance…

Alors, nous vous demandons, à tous, de bien vérifier, lorsque vous recevez nos publications, que votre adresse est bien et entièrement libellée. D’autre part, si vous constatez que vous n’avez pas reçu un numéro (le cas s’est produit !)et que vous êtes passé du n°316 au n° 318, n’hésitez pas à nous le dire : nous rattraperons le coup, avant même de recevoir le traditionnel « RETOUR A L’ENVOYEUR »… Enfin si vous changez de domicile, il faut IMPERATIVEMENT nous le faire savoir . »

… Ou vous pouvez toujours employer de nouveaux modes de communication…

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